La maison qui glissait

Jean-Pierre Andrevon, Le Bélial, 2010, 530 p., 10€ epub sans DRM


De Jean Pierre Andrevon, je n'avais lu que le travail du furet que j'avais aimé.
L'intrigue de la maison qui glissait m'a donné envie de m'y plonger. le plaisir a été de très courte durée.

Le roman débute par le phénomène étrange, un brouillard laiteux accompagné de coupures électriques. Nous faisons la connaissance de plusieurs habitants de la tour.
J'ai trouvé de suite le style lourd, très descriptif. La psychologie des personnages ne m'a pas paru très fouillée.
Plus rédhibitoire pour moi, les quelques personnages griffonnés par l'auteur sont tous décrits par leurs corps ou leurs moeurs sexuelles. Si le roman débute de cette manière, il y a de forte chance que cela s'accentue par la suite. Ce n'est pas ce que je recherche dans la science-fiction, et connaitre la taille d'un bonnet n'entre pas dans l'étude de caractères, ce que je pensais que le livre était.

J'ai interrogé les critiques sur Babelio qui m'ont vite refroidi : sexe sans intérêt, personnages caricaturaux, de grandes longueurs et un travail de relecture éditorial inexistant…

J'ai préféré fermé ce livre et « perdre mon temps » à une littérature plus agréable.


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